not my fav book by my fav author
3 stars
this and the first Earthsea book are really just not my cup of tea
When the prince declares there is no longer true magic in Enlad, Ged sets out to confront his past, to test the ancient prophecies of Earthsea.
this and the first Earthsea book are really just not my cup of tea
"The Farthest Shore" est le troisième tome du cycle Earthsea d'Ursula K. Le Guin, également connu en français sous le nom de cycle de Terremer.
On y retrouve à nouveau Ged, le héros du premier tome et personnage secondaire du deuxième, désormais vieillissant et Archimage. Il est cette fois accompagné dans sa quête par Arren, un jeune prince. Leur but ? Découvrir pourquoi la magie disparait peu à peu des îles d’Earthsea.
Leur voyage les mènera dans le sud et l’ouest de l’archipel, à la rencontre de peuples que nous n’avions pas encore eu l’occasion de découvrir jusque là. Personnellement, j’ai une tendresse particulière pour le peuple des mers. On retrouve également avec plaisir des dragons, souvent cités mais rarement aperçus dans les romans précédents, hormis une scène marquante du premier.
A travers les aventures du vieux mage et de son jeune compagnon, Ursula K. Le Guin nous parle de …
"The Farthest Shore" est le troisième tome du cycle Earthsea d'Ursula K. Le Guin, également connu en français sous le nom de cycle de Terremer.
On y retrouve à nouveau Ged, le héros du premier tome et personnage secondaire du deuxième, désormais vieillissant et Archimage. Il est cette fois accompagné dans sa quête par Arren, un jeune prince. Leur but ? Découvrir pourquoi la magie disparait peu à peu des îles d’Earthsea.
Leur voyage les mènera dans le sud et l’ouest de l’archipel, à la rencontre de peuples que nous n’avions pas encore eu l’occasion de découvrir jusque là. Personnellement, j’ai une tendresse particulière pour le peuple des mers. On retrouve également avec plaisir des dragons, souvent cités mais rarement aperçus dans les romans précédents, hormis une scène marquante du premier.
A travers les aventures du vieux mage et de son jeune compagnon, Ursula K. Le Guin nous parle de la mort et du rapport des êtres humains à cette issue qui peut être terrifiante et malgré tout inévitable. Encore une fois, le récit peut sembler très classique mais révèle une réelle profondeur au lecteur prêt à l’accueillir. Le tout dans un style fin et poétique auquel l’autrice nous avait déjà habitué dans les deux premiers tomes.
Ce roman met fin à la trilogie originale d’Earthsea, publiée au tournant des années 1960 et 1970. Je vais désormais poursuivre mon voyage dans l’archipel avec les trois tomes suivants, publiés dans les années 1990 et 2000.